Saint-Pierre-le-Chastel

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Saint-Pierre-le-Chastel
Saint-Pierre-le-Chastel
Village de Saint-Pierre-le-Chastel sur une butte.
Blason de Saint-Pierre-le-Chastel
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans
Maire
Mandat
Janette Vialette Giraud
2020-2026
Code postal 63230
Code commune 63385
Démographie
Gentilé Castelpétrussiens
Population
municipale
447 hab. (2021 en augmentation de 5,18 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 56″ nord, 2° 50′ 35″ est
Altitude Min. 665 m
Max. 873 m
Superficie 17,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Ours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Pierre-le-Chastel
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Saint-Pierre-le-Chastel
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Saint-Pierre-le-Chastel
Cimetière et église
Cimetière et église du XIe siècle.

Saint-Pierre-le-Chastel est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.

Ses habitants sont appelés les Castelpétrussiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Pierre-le-Chastel est située à l'ouest du département du Puy-de-Dôme. Cinq communes sont limitrophes[1] :

Communes limitrophes de Saint-Pierre-le-Chastel
Bromont-Lamothe Pontgibaud Saint-Ours
Saint-Pierre-le-Chastel
Gelles Mazaye

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Elle est traversée par la Sioule.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 920 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gelles », sur la commune de Gelles à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 9,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 026,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Pierre-le-Chastel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,6 %), forêts (25,7 %), zones agricoles hétérogènes (19,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %), zones urbanisées (1,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par la route départementale (RD) 986, ancienne route nationale 686, reliant Riom et Pontgibaud au nord à la RD 2089, ancienne route nationale 89 au sud, en direction de Rochefort-Montagne, ainsi que par les RD 52 au sud de la commune, 62 (passant près du lieu-dit Bannières), 578, 579 et 579a, ces deux dernières desservant le chef-lieu de la commune[1].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La ligne d'Eygurande - Merlines à Clermont-Ferrand traverse la commune[1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le site a probablement été occupé à la préhistoire[14].

En 1165, le lieu (ancien vicus gaulois selon Ch. Contejean[15]) est connu sous la forme Castellum car un château, rasé anciennement, se dressait au nord de l’église[16]. D'après Ambroise Tardieu, l’église a dépendu des bénédictins de l’abbaye de Mozac[17]. Plus tard, Le Chastel est devenu Saint-Pierre-le-Chastel quand a été rajouté le nom du saint patron de la paroisse[16]. Elle avait dans ses dépendances l’église de Pontgibaud jusqu'à la Révolution française.

Au XIXe siècle sont exploitées des mines de plomb argentifère, qui étaient connues dès l'époque gallo-romaine.

Environnement[modifier | modifier le code]

Le paysage communal est resté durant un siècle concerné par les séquelles de pollution par le plomb des anciennes mines argentifères du secteur de Pontgibaud qui furent autrefois l'une des plus grandes mines de plomb argentifère d'Europe (les mines locales ont été exploitées de l'époque gallo-romaine à 1897 et les laveries ont fonctionné jusqu'en 1905)[18]. Sur ce laps de temps elles auraient produit environ 50 000 tonnes de plomb et 100 tonnes d'argent. Les risques liés à la pollution sont suivis par la DREAL, l'ARS et l'INERIS[18]. L'une de ces mines était l'ancienne mine dite « des Rosiers » de Saint-Pierre-le-Chastel.

Plus d'un siècle après la fermeture de la mine le dernier chantier de dépollution des sols et de « mise en sécurité »[19]. était celui de Saint-Pierre-le-Chastel (terminé fin 2017). Il était aussi le plus important avec des teneurs en plomb pouvant dépasser de cent fois supérieures le seuil imposant légalement un dépistage du saturnisme[20]. Là 300 000 tonnes de sables blancs et de résidus contenant encore environ 10 000 tonnes de plomb ont été retirés et évacué pour repaysager le site. Ce crassier donnant sur un « lac bleu » était utilisé par des moto-cross « alors que le lac était un lieu de baignade apprécié » il a été « transformé en bassin de décantation où ont été entreposés les résidus, avant qu'ils ne soient recouverts ». D'après les analyses de sang faites mi-2016, les habitants de la commune n'étaient pas atteints de saturnisme.

La commune abrite aussi un espace naturel sensible (ENS) d'initiative locale dit du Marais de Saint-Pierre-le-Chastel. Le site (de 65 hectares) est constitué en partie d'une butte basaltique recouverte de landes, et à ses pieds d'une zone humide de fond de vallée (zone humide de Paloux, de 33 hectares) située de part et d’autre du ruisseau de Mazayes, affluent de la Sioule[21],[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Pierre-le-Chastel est membre de la communauté de communes Chavanon Combrailles et Volcans[23], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pontaumur. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[24]. Jusqu'en 2016, elle était le siège de la communauté de communes Pontgibaud Sioule et Volcans[25].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[23]. Avant , elle faisait partie du canton de Pontgibaud[26].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Ours pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[23], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[26].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Saint-Pierre-le-Chastel, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[27] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[28]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des candidats en lice est élue au premier tour, le , avec un taux de participation de 59,64 %[29].

Chronologie des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Jean-Paul Faucher PS  
En cours
(au )
Janette Vialette Giraud[Note 3]   Retraitée[32]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 447 habitants[Note 4], en augmentation de 5,18 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
715717803783739792846923940
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9901 0371 0409971 0601 0361 015920767
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
733726684575567562502456464
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
417354339310326320353359373
2014 2019 2021 - - - - - -
421443447------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Saint-Pierre-le-Chastel dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Il n'existe aucune école.

Hors dérogations à la carte scolaire, les collégiens se rendent à Pontgibaud, au collège Anna Garcin-Mayade[37], et les lycéens à Riom[38].

Économie[modifier | modifier le code]

Elle est tournée vers l'élevage bovin.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église du village date du XIe siècle[16]. Derrière, une salle polyvalente a été construite au début des années 1980. À proximité, un garage destiné aux véhicules d'incendie date de la fin des années 1990 ; il est aujourd'hui utilisé par les services techniques de la Mairie.

Le château de Bonnebaud date du XIIIe siècle et a été modifié jusqu'au XIXe siècle ; il est inscrit, ainsi que tout le domaine, au titre des monuments historiques depuis 2003[39].

Dans la littérature[modifier | modifier le code]

Dans le village se déroule l'histoire du roman Les Lendemains par l'écrivaine française Mélissa Da Costa.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Orthographié « Jeannette Vialette-Giraud » selon la préfecture[30], et « Janette Vialette-Giraud » selon l'association des maires ruraux du Puy-de-Dôme[31].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Carte de Saint-Pierre-le-Chastel sur Géoportail.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Saint-Pierre-le-Chastel et Gelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Gelles », sur la commune de Gelles - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Gelles », sur la commune de Gelles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  14. Guy Massounie (sous la direction de Frédéric Trément), Peuplements et paysages aux confins occidentaux du territoire des Arvernes de la protohistoire au Moyen Âge (thèse de doctorat en histoire, histoire de l'art et archéologie, de l'université Blaise-Pascal, Clermont-Ferrand), (lire en ligne [PDF]).
  15. Chabouillet et C. Contejean, « Nouvelles archéologiques et correspondance », Revue Archéologique, vol. 10,‎ , p. 159-164 (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  16. a b et c Bulletin municipal no 25, 2013.
  17. Ambroise Tardieu, Pontgibaud en Auvergne. La ville, le château, le comté, les mines, Paris, Le Livre d'Histoire - Lorisse, .
    Réimpression : 1992, 144 p., coll. « Monographie des villes et villages de France », dirigée par M.-G. Micberth (ISBN 2-87760-888-3).
  18. a et b « Les anciens sites miniers sous surveillance », La Montagne, .
  19. Arnaud Pidon, Dominique Niemiec et Philippe Sabourault, Mise en sécurité d'un dépôt de résidus de traitement de minerai de plomb-argentifère, Pontgibaud, Auvergne, Nancy, Journées nationales de Géotechnique et de Géologie de l'Ingénieur, (lire en ligne [PDF]).
  20. Claude Fallas et Christian Lamorelle, « Pollution au plomb : le site de Saint-Pierre-le-Chastel entièrement nettoyé », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, .
  21. Romain Legrand, Guillaume Leroux et al., « Plan de gestion : Espace Naturel Sensible « Butte et Marais » - Commune de Saint-Pierre le Chastel (63) » [PDF], Conservatoire d'espaces naturels Auvergne, Ligue de protection des oiseaux Auvergne, Commune de Saint-Pierre-le-Chastel et Conseil général du Puy-de-Dôme, (consulté le ). 146 pages.
  22. Damien Pagès, Sabine Boursange et Charles Lemarchand, « Inventaire des mammifères sauvages (hors chiroptères) présents au sein de l'Espace Naturel Sensible d'Initiative Locale « Butte et Marais de Saint-Pierre le Chastel » (Puy-de-Dôme) » [PDF], Conservatoire d'espaces naturels Auvergne, Ligue de protection des oiseaux Auvergne, Conseil général du Puy-de-Dôme et Groupe Mammalogique d'Auvergne, (consulté le ). 16 pages.
  23. a b et c « Commune de Saint-Pierre-le-Chastel (63385) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. « CC Chavanon Combrailles et Volcans (No SIREN : 200071215) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  25. « CC Pontgibaud Sioule et Volcans (No SIREN : 200023331) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  26. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  27. Article L. 252 du Code électoral.
  28. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  31. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ), p. 8.
  32. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 34 (édition du Puy-de-Dôme).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Taper « SAINT-PIERRE-LE-CHASTEL » dans le formulaire de saisie.
  38. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 14.
  39. « château de Bonnebaud », notice no PA00092381, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 mars 2016.